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Le Nihon Buyô, dont le sens littéral est "danse japonaise", est une danse traditionnelle du Japon exécutée en kimono.
Il est même la forme de danse classique la plus répandue au Japon.
Ce genre, souvent spectaculaire, se caractérise par la complexité de ses codes esthétiques et la beauté somptueuse de ses
costumes.
Le Nihon Buyô découle principalement de la danse du Kabuki, forme épique du théâtre japonais traditionnel, datant de l'époque
d'Edo.
A cette époque, les chorégraphes et les acteurs de kabuki ont donné naissance à de nombreuses tendances.
C'est aussi à cette période que l'apprentissage de la danse traditionnelle s'est généralisé parmi les femmes.
Les pièces classiques du Nihon buyô appartiennent d’ailleurs au répertoire du théâtre kabuki, dont les acteurs sont exclusivement
masculins.
De nos jours, les pièces de Nihon Buyô sont également dansées sous forme de récital et sont alors exécutées aussi bien par des hommes que
par des femmes.
Ces représentations mettent l'accent sur l'aspect chorégraphique plutôt que sur la théâtralité, et la dimension visuelle prédomine
dans ces danses.
Cette forme de danse traditionnelle japonaise se caractérise par la fluidité dans la succession des mouvements, qui suggère
élégance, raffinement et maîtrise de l’émotion.
Elle obéit à des codes stylistiques et esthétiques très élaborés, qui n’empêchent pas une grande liberté d'inspiration dans les
créations contemporaines.
Elle a ainsi perfectionné au cours du temps les techniques d’autres formes d'art : des éléments de la chorégraphie du kabuki, des mouvements
circulaires caractéristiques du théâtre mais aussi éléments des arts du spectacle populaire.
Les instruments traditionnellement utilisés au théâtre sont aussi devenus une partie intégrante de la musique du Nihon buyô.
La floraison des cerisier annonce la fin de l'hiver et l'arrivé du printemps. Entre la période mi-mars et mi-avril, c'est "La fête des cerisiers", une fête officielle au Japon.
L'apréciation des cerisiers date de plus de 1000 ans. Depuis l'époque Heina (794-1192), de plus en plus de poétes et de chansons ont pour le thème le cerisier. Au 7éme siècle, l'impératrice Jito qui adorait le cerisier allait plusieur fois au Mont Yoshino pour le contempler. La première fête du cerisier à été organisée par l'empereur Saga au 9éme siècle. Elle était à l'époque une activité entre les nobles et membres de la royauté et ce jusqu'a lépoque d'Edo (1603-1867). Elle est désormais une activité populaire que l'on partage en famille et entre amis. Une fête devenue traditionnelle et importante au Japon.
Un proverbe japonais dit : "7 Jours de vie du cerisier" pour signifier qu'une fleur de cerisier ne fleurit que durant environt 7 jours. Le cerisier, en effet dont les fleurs fleurissent et tombent au même moment, à toujours été un symbole de beauté éphémère au Japon et est étroitement associé aux samurai et aux Bushi. La vie était considérée comme belle et courte, similaire à une fleur de cerisier. Les Japonais rapprochent cet agréable paysage à l'esprit japonais pour son charme et sa durée de vie : "Même si la vie est courte, il est important d'avoir une vie splendide"
Les Japonais prêtent une grande attention à la météo pour « contempler les fleurs (花見, hanami) ». Ils se promènent dans les parcs, visitent les autels et les temples en famille ou entre amis pour manger et boire sous les cerisiers.
Pour voir toutes les photos du Défilé du Nouvel An 2012 vous pouvez télécharger l'application suivante qui proposera la visiter de la galerie virtuelle à travers un décort Chinois ...
http://www.mediafire.com/download.php?lpbfwgv3gnvetil
De Nombreuses Adaptations
Théatre Vietnamien - Cai Luong
Vu Linh et Phuong Mai
Première Rencontre entre Luong Son Ba et Chuc Anh Dai
Son Ba forcé rédige une lettre de rupture
Scène Finale - Les retrouvailles
Opéra Huang Mei,
Danses :
Musiques et chansons,
Un concerto consacré à ce thème
Bande dessinée :
Dessins annimés ...
Séries Chinoises
et films dont le célèbre "The Lovers" de Tsui Hark
Et meme de scultures :
Des timbres ...
Légende Chinoise qui tire son origine dans un texte classique de la litterature chinoise., comme toute légènde est connu sous différentes versions et à connu au fils du temps de nombreuses transformations. Celle ci fait partie des quatre grandes histoires les plus populaire du folklore Chinois qui compte "L'hitoire du Bouvier et de la Tisserande", celle de "Dame Mengjiang faisant s'écrouler la grande Muraille en pleurant", ainsi que la lègende du serpent blanc ...
En Europe cette histoire est souvent comparé à celle de Roméo et Juliette ... cette légende est transmise
depuis des générations car le conte connait de nombreuses adaptation de théatre, opéra Huang Mei, musique, il me semble qu'il y a même un concerto consacré à ce thème ... mais aussi livre
et dessins annimés ... elle inspira également de nombreuses séries et films dont le célèbre "The Lovers" de Tsui Hark ... c'est pour moi l'un des films unique qui malgré de nombreux visionnages
me procure toujours autant d'émotions et qui ne manquera pas de me faire verser quelques larmes ... il est toujours l'un des préféré de ma collection !!
http://www.iletaitunefoislecinema.com/chronique/3275/legendes-et-folklore-chinois-chez-tsui-harkentre-tradition-et-modernisme
La Romance de Liang Shanbo et Zhu Yingtai (Les amants papillons) est une légende chinoise qui raconte l'histoire d'amants désespérés, préférant mourir plutôt que d'être séparés, à l'instar de Roméo et Juliette.
La légende de Liang Shanbo et Zhu Yingtai se passe sous la dynastie des Jin de l’Est ,la dynastie avait pour capitale Jiankang, autre nom de l’ancienne capitale du royaume de Wu qui, au début du sixième siècle, se posa en rivale de Luoyang, la capitale du Nord, ce qui lui valut d’être détruite et sa population décimée. Elle fut reconstruite sous les Tang, et rebaptisée Nanjing sous les Ming. C’est donc une légende du Sud de la Chine, qui la prédisposait à être adaptée en opéra du Sud, ou huangmei (黃梅戏).
Zhu Yingtai était le neuvième enfant, mais la seule fille, d’une riche famille de Shangyu, aujourd’hui englobée dans la ville de Shaoxing, dans le Zhejiang. Les traditions interdisaient aux filles d’aller à l’école, mais la jeune fille réussit à convaincre son père de la laisser se déguiser en garçon pour aller suivre des cours à Hangzhou, afin de préparer les examens impériaux.
Pendant le voyage qui la conduit là, elle rencontre le jeune Liang Shanbo, qui vient d’un autre district de Shaoxing, Kuaiji. Dès leur première rencontre, ils ressentent une grande affinité, et deviennent « frères jurés » dans la grande tradition chinoise.
Ils étudient pendant trois ans ensemble dans la même école, et Yingtai tombe peu à peu amoureuse de son compagnon qui, tout à ses études, ne s’aperçoit de rien. Un jour, cependant, elle reçoit une lettre qui lui annonce que son père est malade, et lui demande de rentrer immédiatement. La mort dans l’âme, elle prend congé de Shanbo, mais, avant de partir, va voir la femme du maître d’école, lui avoue sa véritable identité et, lui remettant un pendant de jade comme cadeau de fiançailles, lui demande de lui servir d’intermédiaire auprès de Shanbo.
Celui-ci l’accompagne sur une partie du chemin du retour, et, pendant le trajet, Yingtai tente désespérément de lui faire comprendre, par des allusions, qu’elle est une femme ; mais il ne comprend pas. Finalement, avant qu’il parte, dans le même pavillon où ils s’étaient rencontrés la première fois, elle lui déclare qu’elle a une petite sœur qui lui ressemble comme une goutte d’eau ressemble à une autre goutte d’eau, et qu’elle se fera son intermédiaire pour demander sa main.
Shanbo ne vient lui rendre visite qu’au bout de plusieurs mois et découvre alors sa véritable identité. Passionnément épris l’un de l’autre, ils se jurent un amour éternel. Mais leur joie est de courte durée car Yingtai a été promise au fils d’une riche famille, Ma Wencai. Shanbo est désespéré ; il accède au poste de magistrat provincial, mais tombe gravement malade et meurt quelque temps plus tard.
Le jour du mariage arrangé de Yingtai, alors que la procession approche de la tombe de Liang Shanbo, un vent violent se lève, et de mystérieux tourbillons empêchent le palanquin de poursuivre son chemin. En proie au plus profond désespoir, Yingtai en descend pour aller se prosterner sur la tombe, et déclare qu’elle n’épousera pas Ma Wencai. La tombe s’ouvre alors dans un grondement de tonnerre, elle s’y précipite et disparaît.
C’est alors que les porteurs du palanquin et les participants à la procession nuptiale voient surgir de la sépulture deux papillons qui s’envolent ensemble, pour ne plus jamais être séparés.
Romance d'outre tombe une histoire consacré
http://ame-vietnamienne.over-blog.com/article-20619691.html
Lien vers la présentation du film.
http://www.parisbeijing.com/article-25268356.html
La dernière oeuvre sur ce thème qui requiert mon attention est l'album de Benjamin Lacombe qui sans doute fera connaitre au grand public Français cette histoire Chinoise mais pourquoi l'a t'il transposé dans un univers Japonais ??? c'est la question que je lui poserait si je le rencontre un jour !!
http://jeunesse.lille3.free.fr/article.php3?id_article=1292
http://benjaminlacombe.hautetfort.com/
Chang'o - Déesses de la Lune
Déesses Musiciennes
Kuan Yin - Déesse de la Miséricorde